Océaniques
(l'un des douze tableaux de la série "Océaniques")
Cantate au poète Juif assassiné
(l'un des seize tableaux de la série "Cantate")
Les 12 Tableaux / Enfanter la présence
(l'un des douze tableaux de la série "Présence")
sont un dialogue artistique où les peintures de Jeanine Bary suscitent les poèmes de Marine d'Avel, lus par Wioletta Michalczuk, les improvisations au piano par Sylvie Cohen et au saxophone par François Cotinaud, ainsi que les danses de Muriel Flicoteaux. De ces différentes voix (ensemble ou en alternance) est né le spectacle :
Océaniques, est une sorte de ballade, au bord de l'Océan où les pensées vagabondent et se mêlent au soleil. Surgit, du fond de la mémoire, soixante ans après l'événement, la Cantate au poète Juif assassiné, où la commémoration prend la forme d'une cérémonie intime. Les tableaux et poèmes, qui émergent de la souffrance après un long silence, témoignent d'une reconstruction par l'art, concrétisée dans un troisième temps par la série des douze tableaux. Ce dernier ensemble est le fruit de la méditation du peintre, il exprime le long chemin de la création d'une oeuvre, celle de l'exploration du souffle et de la matière afin que peintures, poèmes, musiques et danses, se conjuguent pour faire palpiter une présence au plus intime de chacun d'entre nous.
Née des circonstances de l'histoire, la rencontre est la lente évolution d'une renaissance.
Dossier complet (en pdf)
(l'un des douze tableaux de la série "Océaniques")Cantate au poète Juif assassiné
(l'un des seize tableaux de la série "Cantate")Les 12 Tableaux / Enfanter la présence
(l'un des douze tableaux de la série "Présence")sont un dialogue artistique où les peintures de Jeanine Bary suscitent les poèmes de Marine d'Avel, lus par Wioletta Michalczuk, les improvisations au piano par Sylvie Cohen et au saxophone par François Cotinaud, ainsi que les danses de Muriel Flicoteaux. De ces différentes voix (ensemble ou en alternance) est né le spectacle :
"Cette obscure
clarté…"
Mise
en scène : Marine
d'Avel.Océaniques, est une sorte de ballade, au bord de l'Océan où les pensées vagabondent et se mêlent au soleil. Surgit, du fond de la mémoire, soixante ans après l'événement, la Cantate au poète Juif assassiné, où la commémoration prend la forme d'une cérémonie intime. Les tableaux et poèmes, qui émergent de la souffrance après un long silence, témoignent d'une reconstruction par l'art, concrétisée dans un troisième temps par la série des douze tableaux. Ce dernier ensemble est le fruit de la méditation du peintre, il exprime le long chemin de la création d'une oeuvre, celle de l'exploration du souffle et de la matière afin que peintures, poèmes, musiques et danses, se conjuguent pour faire palpiter une présence au plus intime de chacun d'entre nous.
Née des circonstances de l'histoire, la rencontre est la lente évolution d'une renaissance.
Dossier complet (en pdf)
| Jeanine Bary peint depuis 1985 et se consacre depuis 1991 à la peinture à l'huile. En quelques années elle passe du figuratif à l'abstrait avec une importance croissante accordée à la couleur, oscillant entre ombres et ténèbres et fulgurance de la lumière. Son parcours artistique est le reflet d'un chemin intérieur où elle panse les blessures d'une enfance vécue pendant la guerre et de la libération qu'elle a trouvée dans la joie de créer. Elle cherche à rendre par ses peintures le souffle, ce mouvement subtil de la vie. Il y a dans sa quête le désir de trouver une plénitude, mais aussi de bousculer sa réalité quotidienne par une expression artistique faite d'intuition et d'écoute à ce qui l'entoure. | Pianiste de formation jazz, Sylvie Cohen s'est tournée depuis plusieurs années vers les mélodies traditionnelles judéo-espagnoles, en compagnie du saxophoniste et clarinettiste François Cotinaud. Les mélodies sépharades, qui se sont transformées au contact des cultures turques et yougoslaves où la communauté judéo-espagnole s'est installée après 1492, sont revisitées et habitées par les deux musiciens. Ils traduisent instrumentalement l'expressivité d'un monde amoureux, fébrile ou brûlant. Leur répertoire propose des improvisations libres, des arrangements audacieux avec les harmonies savoureusement dissonantes du jazz. |
| Marine d'Avel écrit depuis plusieurs années des textes poétiques en dialogue avec des plasticiens. Elle puise son inspiration aux confins du silence et des rencontres, du grincement des transports et de la manne du quotidien, ainsi que du travail artisanal paisible sur le petit peuple des mots. Elle a écrit quatre textes inspirés par les peintures de Jeanine Bary : «Chant escarpé » en 2001, «Océanique » en 2002, «Inspirer tendresse » en 2003 et «Cantate au Poète juif assassiné » en 2005. | Wioletta Michalczuk commence sa carrière de comédienne par un rôle important dans le téléfilm « la Colline aux enfants » de Jean-Louis Lorenzi, où elle incarne une jeune polonaise juive qui trouve refuge pendant la seconde guerre mondiale à Chambon-sur-Lignon. Elle mène de front une carrière théâtrale, - elle jouait pendant l'été 2007 la Reine dans Richard II de Shakespeare - et cinématographique, interprétant en 2007 Denise dans « Nos Amis les Terriens » de Bernard Werber et Maya dans «Rendez-moi mon bébé » de Bernard Van Effenterre avec Pierre Arditi. |
| Muriel Flicoteaux a toujours ressenti le besoin de danser pour exprimer un univers en dehors du monde des mots. Elle danse s'initie à la danse yiddish auprès d'Yvette Métral et à l'expression primitive avec Cécile Berthelot. Son style se nourrit des cultures traditionnelles qu'elle s'approprie en les intégrant à sa propre gestualité contemporaine, entremêlant ainsi gestes construits et symboliques et énergies lyriques nées de l'improvisation. | Une première, publique, aura lieu Dimanche 16 mars 2008 à 16h au Cercle Bernard Lazare_(10, rue Saint-Claude - 75003 - Paris). La revue du CBL est soutenue par le Centre National du Livre. |